Dans l'entre-deux-guerres, au fameux Bal de la Rue Blomet, non loin de Montparnasse, on assista à une étrange cohabitation : celle travailleurs antillais (ouvriers des usines Peugeot et Renault, servantes, employés d'hôtel etc.) et du Tout-Paris (artistes, écrivains, journalistes, politiciens, industriels etc.). S'ajoutaient des étrangers célèbres comme les peintres japonais Foujita et espagnol Picasso, les écrivains américains Ernest Hemingway et Scott Fitzgerald, et même le Prince de Galles ! C'est là aussi que Joséphine Baker fit ses premiers spectacles.
Comment ces deux populations si différentes non seulement au plan ethnique mais surtout au plan culturel et social ont-elles pu coexister ? C'est ce que Raphaël Confiant nous décrit dans son roman Le Bal de la rue Blomet qui vient de paraître aux éditions Mercure de France...
1) Que viennent faire ces propos sur la bombe atomique et Truman dans articles et commentaires su Lire la suite
..."C’est au pied du murmure qu’on voit le limaçon anti-vaks" de George Diktatè-Kozak? Lire la suite
...rigolons un peu, il y en a une bien bonne, pour compléterle commentaire d’Albè. Lire la suite
Oben kréyol-ou a ki pa té klè. Atjelman, ou klèsi bagay-la ek nou dakò. Lire la suite
Agrikiltè sé gran grèk adan an sans tou.
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