Que le grand public ignore la composition des vaccins n’est pas surprenant. Qu’un vaccin se résume à un " injection " c’est l’expérience qu’en retient le grand public. Que le « principe de précaution « s’applique à la peur face à ce que l’on ne connaît pas est la règle.
Cependant, la composition des vaccins figure en ligne et en accès libre sur le dictionnaire Vidal. On prut y lire ce qui suit : un vaccin, avant d’être mis à la disposition des professionnels, de santé a fait l’objet d’études complexes d’innocuité, d’efficacité, de tolérance fournies par son concepteur aux autorités sanitaires nationales.
Qu’il fait l’objet pendant son utilisation « dans la vraie vie « d’une surveillance assidue des effets délétères non révélés par les tests initiaux. Ceux-ci sont alors rendus publics sur les sites de surveillance sanitaire nationale et de nombreuses recherches mondiales d’imputabilité des effets ainsi déclarés au vaccin sont effectuées. Ce sont ces relevés et analyses, confrontés aux données épidémiologiques de la pandémie au virus Sars Cov2 en termes de mortalité, de morbidité et de létalité de la Covid 19 qui, jusqu’à nouvel ordre, sont très largement en faveur du vaccin. C’est à partir de ces mesures que s’applique le principe de précaution.
Nos voisins de la Caraïbe auraient-ils eu accès à ces informations qui leur ont permis de faire leur choix éclairé ? Ces informations ne seraient-elles pas parvenues à un certain nombre de nos médecins et pharmaciens ? Il y a tout lieu de le croire.
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