Militant radical, leader du SNCC, figure du Black Power, ministre de la Justice des Black Panthers… et aujourd’hui, prisonnier à vie aux États-Unis.
Dans les années 60, il choque l’Amérique blanche :
« Violence is as American as cherry pie. »
« If America don’t come around, we’re gonna burn it down. »
Fiché, traqué par le FBI (COINTELPRO), il incarne la lutte noire sans compromis. Il prône la résistance, l’autodéfense, la fierté, la liberté.
En prison, il se convertit à l’Islam et devient imam sous le nom de Jamil Al-Amin.
Mais en 2000, il est accusé du meurtre d’un adjoint du shérif.
Aucun ADN. Aucun témoin formel. Pas ses empreintes sur l’arme.
Un autre homme a avoué. Rien n’y fait : condamné à la perpétuité sans libération.
Aujourd’hui, 4 octobre 2025, il a 82 ans. Il est malade. Il croupit toujours en prison.
Est-ce la justice ?
Ou le prix à payer pour avoir été un homme noir debout, libre, et bruyant dans une Amérique qui voulait le faire taire ?
On n’oublie pas.
Free Jamil Al-Amin.
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