Ecouter les radio-libres qui utilisent le créole ou les politiciens qui emploient (démagogiquement) ce dernier lors des campagnes électorales a de quoi provoquer soit le fou-rire soit la colère chez les défenseurs de notre langue laquelle aborde son 4è siècle d'existence soit dit en passant.
C'est ainsi que l'expression "an fin fon", calque du français "au fin fond" est devenue courante, voire majoritaire alors que le créole en possède une bien à lui : an fondok/nan fondok. Comme dans la phrase suivante : Sé nan fondok lakanpay-tala fanmi Jilbè ka rété dépi konmen tan (La famille de Gilbert vit au fin fond de cette campagne depuis fort longtemps).
Sinon, an fondok possède une variante, moins fréquemment utilisée : an fonfonn/nan fonfonn.
1) Que viennent faire ces propos sur la bombe atomique et Truman dans articles et commentaires su Lire la suite
..."C’est au pied du murmure qu’on voit le limaçon anti-vaks" de George Diktatè-Kozak? Lire la suite
...rigolons un peu, il y en a une bien bonne, pour compléterle commentaire d’Albè. Lire la suite
Oben kréyol-ou a ki pa té klè. Atjelman, ou klèsi bagay-la ek nou dakò. Lire la suite
Agrikiltè sé gran grèk adan an sans tou.
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