Édouard Glissant, philosophe et romancier martiniquais : « On ne peut plus écrire son paysage ni écrire sa propre langue de manière monolingue. Par conséquent, les gens qui, comme par exemple les Américains, les États-Uniens, n'imaginent pas la problématique des langues, n'imaginent même pas le monde. Certains défenseurs du créole sont complètement fermés à cette problématique. Ils veulent défendre le créole de manière monolingue, à la manière de ceux qui les ont opprimés linguistiquement. Ils héritent de ce monolinguisme sectaire et ils défendent leur langue à mon avis d'une mauvaise manière. Ma position sur la question est qu'on ne sauvera pas une langue dans un pays en laissant tomber les autres. » (Lise Gauvin : « L’imaginaire des langues – Entretien avec Édouard Glissant », revue Études françaises, 28, 2/3, 1992 - 1993, Presses de l'Université de Montréal, 1993.)
...."magasin", et autres... Lire la suite
J’ajouterai avec la permission de l’auteur de l’article qu’au moment de la destitution de Kadhafi Lire la suite
Enfin un article qui restitue l'homme dans sa complexité et qui fuit les visions simplistes, en n Lire la suite
...plébiscité par des Afreux-caribéens lors de la dernière élection présidentielle, aurait décidé Lire la suite
...moi j’ai toujours cru que Nazareth était à côté de Rome et Béthléem près de Narbonne ou un mac Lire la suite