En 2012, la chanteuse américaine Janet Jackson épousait l’homme d’affaires qatarien Wissam Al Mana. Leur mariage s’accompagnait d’un contrat prénuptial pour le moins singulier : deux clauses phares. La première stipulait que Janet recevrait 100 millions de dollars si le mariage durait au moins cinq ans. La seconde prévoyait 100 millions supplémentaires si elle donnait naissance à un héritier.
En 2016, à 50 ans, Janet annonça sa grossesse. Quelques mois plus tard, en janvier 2017, elle mit au monde son fils, Eissa Al Mana. À ce moment précis, les deux conditions du contrat étaient réunies : cinq ans de mariage révolus, et un enfant né.
Peu de temps après, Janet demanda le divorce, évoquant des différences culturelles irréconciliables. Résultat : une séparation assortie d’une liquidation estimée à 200 millions de dollars, exactement le montant prévu par l’accord.
Une histoire où amour, fortune et stratégie juridique se sont entremêlés, offrant à la star une sortie de scène aussi spectaculaire que sa carrière.
J'ai passé trois ans en taule à Fleury-Mérogis et j'en ai gros sur la patate.
Lire la suite...Pourquoi ? Votre ton est quasi-menaçant... Lire la suite
Excellente question ,voire fondamentale...cx qui passent leur temps à critiquer "le colonialisme" Lire la suite
Netanyahou a été déclaré "présumé innocent" par la Cour Régionale d'injustice. Lire la suite
...et qui figure en effet sur la pseudo "photo de famille", n’oubliez pas qu’il existe un princip Lire la suite