Dans l'article ci-après du quotidien "FRANCE-ANTILLES", édition de Martinique, en date du mardi 17 octobre, la photo d'un "Dictionnaire du créole martiniquais" est publiée en masquant le nom de son auteur.
On pourrait penser à une erreur puisque jamais les noms de Litté, Larousse ou Robert n'auraient été zappés si ce journal avait publié la photo d'un de ces dictionnaires français.
Enseignement du créole : 862 professeurs habilités sur l'académie de Martinique (franceantilles.fr)
Or, rebelote ce vendredi 27 ! Dans un article signé d'un certraine Cynthia Roussi-Sabas, on retrouve la même photo du même dictionnaire toujours sans nom d'auteur !!! A côté de ladite photo, on peut lire ceci :
"Au même titre que le dictionnaire français, celui du créole devrait aussi trouver sa place dans les foyers".
Faut-il rappeler à ces journaleux-blogueurs-instagrameurs que la rédaction d'un dictionnaire de langue__de n'importe quelle langue__demande des années de travail ? En l'occurence, celui du créole martiniquais a demandé pas moins de 15 années à son auteur, cela sans subvention ni aide d'aucune instance locale ni hexagonale.
Bèl pasaj! Lire la suite
...bagay-la. E.Landi nèt an 1961. Lire la suite
...de guerre civile. Lire la suite
Donc les Antillais "organisés " en milices je suppose ,riposterons aux "attaques "racistes faites Lire la suite
..kontrèdi analiz-ou a ! I fini paret ek tit-li sé " UNE GRAMMAIRE DECOLONIALE D'AIME CESAIRE". Lire la suite
Commentaires
Cette espèce d'omerta et l'absence d'aide publique à l'auteur...
Frédéric C.
27/10/2023 - 19:35
...ne m'étonne qu'à moitié. Comme s'il s'agissait d'essayer d'"INVISIBILISER" les initiatives de gens qui gênent, et donc leurs auteurs... La "savane des Esclaves" aux Trois-Ilets, n'a reçu aucune aide publique. J'y suis allé deux ou trois fois. Son créateur, Ti Gilbè, me l'a assuré. AMJ était alors Pdt du Conseil Régional : il n'était même pas venu le voir...