Comme chaque année, en début du mois de mai, la municipalité de Saint-Pierre, sous l'impulsion de son premier édile, Christian RAPHA, a honoré l'arrivée des Indiens en Martinique à partir de 1853.
Faut-il rappeler qu'après l'abolitionde l'esclavage en 1848, beaucoup de "Nouveaux libres" désertèrent les "Habitations" pour gagner les bourgs pour ne pas continuer à être exploités, certes sans chaines mais pour des salaires de misère ("lanmoné-kod" dit la langue créole) ? Les propriétaires békés durent alors faire appel à des travailleurs sous contrat de l'Inde, de la Chine et du Congo pour les remplacer. Ils avaient un contrat de 5 ans au terme duquel ils devaient être rapatriés dans leurs pays respectifs mais la plupart restèrent aux Antilles. Soit parce qu'ils s'étaient trop endettés auprès de "la boutique de l'Habitation" et se voyaient obligés de renouveler leur contrat soit qu'ils préférèrent rester dans leur nouveau pays soit parce qu'il n'y avait pas assez de bateaux de rapatriement. En tout cas, ils devinrent (tout particulièrement les Indiens) une composante essentielle de notre Créolité.
En cette année 2025, à Saint-Pierre, un "Village de l'Indianité" organisé par l'association Savana Vita a rendu hommage aux immigrants indiens avec des spectacles de danse, notamment du magnifique Bharatanatyam...
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Danser sur la corde raide est un exercice difficile .On rique a tout moment de tomber N’est pas e Lire la suite