Les organismes officiels Institut National des Etudes Démographiques (Ined) et Institut National des Statistiques et des Etudes Economiques (Insee) viennent de publier les premiers résultats de la deuxième vague de lʼenquête “Migrations-Famille-Vieillissement” de 2020/2021.
...twoubondakaka ta-a, sé sa i ka chaché-a. Lè ou ka fèy lonnè bay bòk, i dwèt ka bat dous. Lire la suite
Tres bon commentaire sur le nihilisme de certains qui se prennent pour le centre du monde Humoris Lire la suite
N’oublions pas que la nauralisation indienne est disponible a ces indiens antillais ce qui leurs Lire la suite
Tu ne trompes personne avec ton obsession anti-arabe ! Lire la suite
Les cliques prédatrices seraient "responsables des souffrances " des Subsahariens ??? Lire la suite
Commentaires
Toujours le même type d…
certes
23/06/2023 - 13:04
Toujours le même type d'article qui se termine où il devrait commencer.
Il nous indique que les jeunes s'en vont, que les femmes font moins d'enfants et que les vieux sont de plus en plus nombreux.
Y voyant une "destruction" du peuple, il prône une politique de survie.
Comme d'habitude, l'article dit que ce n'est possible qu'après une réforme institutionnelle.
C'est là où ça pourrait devenir intéressant :
1) pourquoi n'est-ce possible qu'après une réforme institutionnelle ?
2) quelle réforme, pour quoi faire, avec quels moyens ?
Mais c'est là où l'article s'arrête !
C'est toujours pareil.
Prenons le taux de fécondité : 19 (pour mille) qui est jugé faible.
L'article laisse entendre que c'est à cause de l'Etat colonial qui veut "détruire" le peuple.
En France, il est de 20.
Antigue, la Dominique, Grenade : 20
St Kitts, St Vincent : 18
Barbade, Ste Lucie, Trinidad : 17.
On voit que les chiffres dans la Caraïbe sont du même ordre de grandeur, en dépit de régimes politiques différents.
Personne ne songe à dire que le Gouvernement de Barbade veut "détruire" son peuple.
Et bien qu'il ait à sa disposition les "leviers de commande", il ne fait pas mieux en matière de taux de fécondité.
C'est qu'une analyse sérieuse montre que le taux de fécondité est lié au niveau de vie et au statut de la femme.
Dans un pays, plus le niveau de vie (intellectuel ou matériel) croît, plus le taux de natalité diminue.
Et plus le statut de la femme s'élève (emploi, contraception, IVG, etc.) plus le taux de natalité diminue aussi !
Alors que faire ?
Pas comme à Cuba : 17.
Peut-être comme au Niger : 69 ?
L'article se garde bien de le dire.