Ecouter les radio-libres qui utilisent le créole ou les politiciens qui emploient (démagogiquement) ce dernier lors des campagnes électorales a de quoi provoquer soit le fou-rire soit la colère chez les défenseurs de notre langue laquelle aborde son 4è siècle d'existence soit dit en passant.
C'est ainsi que l'expression "an fin fon", calque du français "au fin fond" est devenue courante, voire majoritaire alors que le créole en possède une bien à lui : an fondok/nan fondok. Comme dans la phrase suivante : Sé nan fondok lakanpay-tala fanmi Jilbè ka rété dépi konmen tan (La famille de Gilbert vit au fin fond de cette campagne depuis fort longtemps).
Sinon, an fondok possède une variante, moins fréquemment utilisée : an fonfonn/nan fonfonn.
...comme le dit l'article étant donné que l'esclavage des Turcs n'était pas raciste (ils mettaie Lire la suite
Merci pour cet excellent article .Albè ,on demande des réparations aux Turcs quand? Lire la suite
...-et je ne suis pas le seul dans le cas-, ce n’est pas forcément "dans le silence de [mon] espr Lire la suite
...ripostaient en exigeant de nous Antillais, qu'on arrête de jouer aux Blancs alors que la peau Lire la suite
Nous Antillais ne devons demander aux Africains ni d'être honnêtes , ni d'être démocrates ,ni d' Lire la suite