Ecouter les radio-libres qui utilisent le créole ou les politiciens qui emploient (démagogiquement) ce dernier lors des campagnes électorales a de quoi provoquer soit le fou-rire soit la colère chez les défenseurs de notre langue laquelle aborde son 4è siècle d'existence soit dit en passant.
C'est ainsi que l'expression "an fin fon", calque du français "au fin fond" est devenue courante, voire majoritaire alors que le créole en possède une bien à lui : an fondok/nan fondok. Comme dans la phrase suivante : Sé nan fondok lakanpay-tala fanmi Jilbè ka rété dépi konmen tan (La famille de Gilbert vit au fin fond de cette campagne depuis fort longtemps).
Sinon, an fondok possède une variante, moins fréquemment utilisée : an fonfonn/nan fonfonn.
POI, JE VOIS CE QUE VOUS VOULEZ DIRE: 1) Je n'ai jamais écrit que les pays semblables à la Gpe ét Lire la suite
Poukyi man enmen palé di lapè lendépandans ?
Lire la suite
..."Sa" ki ka "di-w" ni dé (2) moun ki pè lendépandans, dapré mwen ou mal tann, òben "Sa" ka mant Lire la suite
Domota ka mandé nou organizé.
Lire la suite
Des abrutis veulent nous convaincre que nous ne devons aspirer qu'à une indépendance "pure" : san Lire la suite