Depuis ces vingt dernières années, sous l’impulsion de plus en plus forte d’écrivains immigrés, le champ littéraire au Québec semble être plus que jamais voué au décloisonnement culturel. Venus d’ailleurs, d’origines les plus diverses, ces « immigrants littéraires » relativisent les appartenances et interrogent les identités établies. En intégrant leur parcours migratoire, leurs voix singulières et une diversité de « lieux de mémoire » (réels et imaginaires) à la culture légitime du pays hôte, ils transcendent le concept même d’une littérature québécoise spécifiée comme « nationale », fondée sur les topiques de « quête d’identité » et les figures collectives du « pays », d’une « langue à soi » et d’unicité culturelle.
L'origine du patronyme "Zemour" : il provient du berbère "azemmur" qui désigne..."l'olive". Lire la suite
...à expulser de la langue française, il y aurait aussi l’inévitable "zob", ou "zeub", "zobi", et Lire la suite
J'ai dû mal ç bien saisir le commentaire de Karl. Lire la suite
Ek viv kon à Sent-lusi!
Lire la suite...et des vidéos de gens ensanglantés, la poitrine défoncée par le volant*, quelques viscères deh Lire la suite