Celle de Roset Mongin, co-auteur avec Charles Henri Fargues, de ce récit de vie. De sa vie dans la Martinique de la fin de 2nde guerre mondiale, et surtout de la période charnière et méconnue du passage de la Colonie au Département.
La vie sur les mornes, là où après 1848, les esclaves enfin libres montaient s’installer pour cultiver un lopin faute de pouvoir le faire ailleurs.
Une vie, loin de tout, où les choses n’avaient pas changé, moins d’un siècle après l’Abolition, comme si le temps s’était ralenti. Le récit de la débrouillardise, pendant de la misère, qui permettra à ce petit peuple, ces gens de rien, de survivre, de s’adapter et de réussir dans une Martinique aujourd’hui oubliée..
Ce récit de Roset Mongin nous rappelle qui nous sommes et d’où nous venons.
« il était une fois la vie au Morne Baldara »
Collection : Qui ne sait rien, de rien ne doute
12.90€
Jean-Benoît Desnel Editions
...s’insérait dans une phrase conjuguée à la forme interro-négative, et non à la forme affirmativ Lire la suite
...NON, ce n’est pas heureux que Césaire ait fait quelque 50 ans à la Mairie et la députation. Lire la suite
J'ai posté 3 réponses. Elles se complètent. Il faut donc les prendre comme un ensemble.
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...N’est-ce pas excessif de mettre tout le monde dans le même sac? Lire la suite
Vous avez vu juste.
Il y a lieu de considérer que la situation ne peut qu’empirer.
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