Dans l'entre-deux-guerres, au fameux Bal de la Rue Blomet, non loin de Montparnasse, on assista à une étrange cohabitation : celle travailleurs antillais (ouvriers des usines Peugeot et Renault, servantes, employés d'hôtel etc.) et du Tout-Paris (artistes, écrivains, journalistes, politiciens, industriels etc.). S'ajoutaient des étrangers célèbres comme les peintres japonais Foujita et espagnol Picasso, les écrivains américains Ernest Hemingway et Scott Fitzgerald, et même le Prince de Galles ! C'est là aussi que Joséphine Baker fit ses premiers spectacles.
Comment ces deux populations si différentes non seulement au plan ethnique mais surtout au plan culturel et social ont-elles pu coexister ? C'est ce que Raphaël Confiant nous décrit dans son roman Le Bal de la rue Blomet qui vient de paraître aux éditions Mercure de France...
Cela fait déjà 17 ans qu'un supermarché béké vend des ignames plantées sous serre dans le Loiret. Lire la suite
Bientôt les Mquais ,tout fiers, importeront les avocats ,les bananes et peut-être les goyaves de Lire la suite
...après l’assassinat de George Floyd, l’invisibilisation de la place "Black lives matter", la ré Lire la suite
Comme d'hab ! Lire la suite
Il me semble qu'il y a une confusion.Donner simplement son commentaire sur un article n'est pas Lire la suite