Dans de nombreux lycées, collèges et écoles primaires de N'Djamena, les élèves communiquent entre eux en langue arabe locale. Cette pratique, courante dans les établissements publics, suscite des inquiétudes quant à la maîtrise du français, langue officielle de l'enseignement.
Autrefois, le ministère de l'Éducation avait interdit aux élèves de parler l'arabe en classe, sauf pendant les cours d'arabe où ils pouvaient poser des questions en arabe classique. Si un élève était surpris en train de parler arabe en dehors de ces cours, il était sanctionné. Cependant, ces règles semblent aujourd'hui oubliées par les enseignants et les directeurs d'école.
Chaque année, la baisse du niveau des élèves augmente de 18 à 21%. Cette pratique de l'arabe local empêche les élèves de bien maîtriser et utiliser le français, ce qui affecte leur capacité à parler et à écrire correctement dans cette langue.
Le ministre de l'Enseignement supérieur et celui de l'Éducation nationale doivent prendre des mesures pour lutter contre la pratique de l'arabe local dans les établissements. Une décision interdisant cette pratique, que ce soit en classe ou dans la cour, pourrait être mise en place pour améliorer le niveau des élèves.
En renforçant les régulations et en encourageant l'utilisation du français, le gouvernement pourrait contribuer à améliorer les compétences linguistiques des élèves, et à garantir une meilleure qualité de l'éducation au Tchad.
Arabes et Africains s'en sont donnés à coeur joie pendant des siècles !
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T'es pas obligé de recopier des articles de presse ou Wikipédia pour nourrir ton obsession anti-a Lire la suite
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