Nommé en 2024, Rémi-François Paolini utilise sans réserve l’idiome local dans ses interventions et pousse la politique des classes immersives.
Cet énarque, normalien, pur produit de la méritocratie républicaine qui a effectué sa scolarité dans l’île jusqu’au baccalauréat, a livré, le 26 juin, dans les colonnes de Corse-Matin, une ample interview « mezu-mezu » (« moitié-moitié »), dont des pans entiers étaient en langue corse. Ambitionnant d’en faire « un pilier central de l’avenir de notre jeunesse ». « Un pillastru maiò di l’avvene di a nostra ghjuventù », dans le texte.
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photo : Rémi-François Paolini, recteur de Corse, à Bastia, le 4 avril 2025. CHRISTIAN BUFFA/« CORSE MATIN »/MAXPPP
Qu'est ce qu'un néologisme ?C'est un mot nouveau fabriqué pour correspondre à une réalité qui jus Lire la suite
Un actionnaire reçoit des dividendes et pour ça, il faut que l'entreprise fasse des bénéfices. Lire la suite
Curieusement, c'est celui qui mériterait d'être bloqué, par les propos orduriers qu'il tient, qui Lire la suite
...commentateurs des articles de Fondas et les responsables de ce site-web, mon gars ! Lire la suite
épi zafè laclé tala i ni an chantaj ka fèt asou Fondas Kréyol !
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