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Je suis la présidente de l’AVCA. Peut-être y en a-t-il encore qui ne savent pas ce que ce sigle signifie. C’est l’Association des Victimes de la Catastrophe Aérienne du 16 août 2005.
Il me semble que l'article parle de ceux qui "PEUVENT PASSER POUR BLANCS" et non de ceux qui, dés Lire la suite
...est-ce que vous parlez de lui-même personnellement, qui l’aurait donc fait sciemment pour sa p Lire la suite
...comme le dit l'article étant donné que l'esclavage des Turcs n'était pas raciste (ils mettaie Lire la suite
Merci pour cet excellent article .Albè ,on demande des réparations aux Turcs quand? Lire la suite
...-et je ne suis pas le seul dans le cas-, ce n’est pas forcément "dans le silence de [mon] espr Lire la suite
Commentaires
Affaire internationale.
OuiNon
19/09/2022 - 22:16
Dans cette affaire internationale qui soulève l'émotion, on dirait que beaucoup pensent que les autorités françaises (administratives comme judiciaires) sont les bons interlocuteurs.
Alors que, par exemple, l'enquête technique était du ressort du Venezuela (lieu de l'accident), de la Colombie (pays de la compagnie aérienne) et des Etats-Unis (pays du constructeur de l'avion). La France (pays unique des passagers) n'était pas officiellement associée, en application des règles internationale de l'aviation civile.
L'avion est parti du Panama vers la Martinique dans un état et des conditions évidemment inconnues des autorités françaises. C'est une généralité : quand un avion décolle du Japon vers Paris, la France ignore tout de l'état de l'avion et de son exploitation.
Le fonctionnement d'une compagnie aérienne est garanti par le pays de celle-ci, via l'autorisation d'exploitation qu'il lui délivre. En l'occurrence, la Colombie autorisait la compagnie à effectuer du transport international de passagers. A noter que la surveillance et les autorisations étatiques n'éliminent pas les accidents, toujours possibles, y compris chez les grandes compagnies.
A ce sujet, la compagnie en cause a transporté pas mal de gens des Antilles, vers différentes destinations. Y a-t-il eu des refus d'embarquer, des signalements, des plaintes, au motif que les passagers auraient trouvé un "avion poubelle" ?
Enfin, si un journaliste français peut aller en Colombie, des juges français ne peuvent s'y rendre pour enquêter. La Colombie est un pays indépendant où gendarmes et juges français n'ont pas de pouvoirs.