Ce roman-là, vous l’aimerez comme « Cette Maman-là » l’héroïne du dernier roman de Nicole CAGE paru à Caraïbes Editions.
L’écriture de Nicole CAGE pleine de poésie mais maniant bien le suspense vous tiendra en haleine tout au long de 220 pages que vous allez dévorer littéralement d’une traite. L’auteure nous invite en deux parties à vivre cette belle relation mère-fille presque fusionnelle, mais avec ce terrible secret de famille ; qui est le père de Deva ?
Pourra-t-elle enfin le connaître ?
Comment se sont-ils connus ?
En dépit de toutes ces interrogations l’héroïne découvre son amour pour Johan ce capoériste qui lui-même s’interroge sur propre identité sexuelle. Alicia, la mère de l’héroïne, va tomber amoureuse car depuis sa rupture avec le père de sa fille à qui elle a caché sa grossesse, aucun homme n’a fait chavirer son cœur.
L’amour de l’héroïne va déployer des trésors d’imagination pour s’approcher de son père. Mais celui-ci est-il dupe ? Es ou ka aprann makak fè lagrimas ?
Le lecteur va s’interroger jusqu’à la fin et c’est tout l’art de Nicole CAGE d’entretenir le suspense. L’amour va-t-il ressortir gagnant de cette quête délicate ?
Un roman où l’amour et l’amitié se côtoient autour de valeurs fortes pour une jeune fille qui en a dans la tête. Doit-on tout dire aux enfants ? Quoiqu’il en soit le secret de famille ne peut pas toujours rester en l’état et tôt ou tard il se révèle.
Plongez allègrement dans ce roman que vous ne lâcherez pas dès les premières pages. Nicole CAGE s’était faite confidentielle, mais elle nous revient avec ce merveilleux bijou littéraire publié chez Caraïbes-éditions.
Jid
...quelques informations tout de même. Lire la suite
...détectées par le hacker me dit-on mais les responsables du site refusent de les rendre publiqu Lire la suite
...du numérique" sera assez fin et roué pour détecter TOUTES les différentes adresses IP de l’ind Lire la suite
...parvenir à identifier les fouteurs de merde qui, sous des pseudonymes divers et variés s'amuse Lire la suite
Il est à la fois grotesque et ridicule d'accuser Fondas de ne montrer que "80 personnes sur 120.0 Lire la suite