Jeux de construction et quête d’appartenance : les écrivains antillais et le texte persien

Véronique Bonnet ("Fondation Saint-John Perse")

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« Saint-John Perse, le plus essentiel des poètes vivants » écrivait Glissant, en 1969, dans L'Intention poétique1. En se référant à cet aîné primordial et en instaurant une sorte de corps à corps avec la poétique persienne, Glissant inaugurait une tendance qui, au cours des décennies suivantes, n'a cessé de s'amplifier, de s'enraciner solidement dans les lettres antillaises.

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Commentaires récents

  • "La pire erreur de ma vie !" (disent-ils)...

    Albè, pa tèwbolizé-w épi...

    Frédéric C.

    07/05/2025 - 11:11

    ...twoubondakaka ta-a, sé sa i ka chaché-a. Lè ou ka fèy lonnè bay bòk, i dwèt ka bat dous. Lire la suite

  • GRAND DRAME DU 1er MAI : JÉRÔME GUEDJ VIOLEMMENT DÉBOULONNÉ D’UN TROTOIR

    Tres bon commentaire sur le…

    grand zongle

    07/05/2025 - 10:43

    Tres bon commentaire sur le nihilisme de certains qui se prennent pour le centre du monde Humoris Lire la suite

  • Saint-Pierre (Martinique) : le village de l'Indianité

    N’oublions pas que la…

    grand zongle

    07/05/2025 - 01:20

    N’oublions pas que la nauralisation indienne est disponible a ces indiens antillais ce qui leurs Lire la suite

  • "La pire erreur de ma vie !" (disent-ils)...

    OBSESSION

    Albè

    06/05/2025 - 19:53

    Tu ne trompes personne avec ton obsession anti-arabe ! Lire la suite

  • "La pire erreur de ma vie !" (disent-ils)...

    Non ,non et non !!!

    sol

    06/05/2025 - 18:01

    Les cliques prédatrices seraient "responsables des souffrances " des Subsahariens ??? Lire la suite