La co-officialisation du créole et du français votée à l'unanimité (moins une abstention) par les élus de l'Assemblée de Martinique il y a quelque mois est déclarée nulle et non avenue par le Préfet de la Martinique. Il en demande le retrait pur et simple au président de ladite assemblée à savoir Serge Letchimy.
On suppose que nos élus savent lire et qu'ils et elles connaissent l'article 2 de la Constitution française qui stipule que "La langue de la République est le français". En votant cette co-officialisation, ils ont donc cherché à entamer un combat politique, un bras-de-fer avec l'Etat jacobin. Comme, par le passé, cela a été fait dans nombre d'autres domaines ! En effet, on ne peut pas avoir une Assemblée de Martinique au sein de laquelle la droite assimilationniste (et anti-créole) est absente et ne rien faire pour tenter d'avancer vers un peu plus d'autonomie et de respect de notre identité. C'est le minimum syndical pourrait-on dire...
Ci-après la lettre du Préfet de Martinique au Président de la Collectivité Territoriale de Martinique...
Sauf que mon "sans graisse" n'a acun rapport avec le fric tandis que ton "actionnaire", oui ! Lire la suite
Il est commode de s'abriter derrière un mot et de faire la leçon pour éviter le vrai sujet. Lire la suite
S'agissant de Ghazzala Hashmi, elle a été élue "lieutenant-gouverneur" de l'état de Virginie et n Lire la suite
Qu'est ce qu'un néologisme ?C'est un mot nouveau fabriqué pour correspondre à une réalité qui jus Lire la suite
Un actionnaire reçoit des dividendes et pour ça, il faut que l'entreprise fasse des bénéfices. Lire la suite