Introduction : Au cours des trente dernières années, le marronnage s’est constitué en tant qu’objet d’étude littéraire, et non plus seulement historique. En témoignent par exemple la publication d’une anthologie intitulée Ô fugitif : anthologie autour de la figure du marron[1], ainsi que celle de divers travaux de recherche, à l’instar de la thèse de doctorat réalisée par Alexandra Roch en études anglophones, Le marronnage dans la littérature caribéenne[2].
Pour citer cet article: Marty, Sophie, «Archive, témoignage et fiction : le traitement du marronnage dans Biografía de un cimarrón, de Miguel Barnet (1966), et Nègre marron, de Raphaël Confiant (2006)», Littérature, histoires, Histoire, [en ligne], Sorbonne Université, 21 mai 2022. URL: https://doctorales.hypotheses.org/1860
L'origine du patronyme "Zemour" : il provient du berbère "azemmur" qui désigne..."l'olive". Lire la suite
...à expulser de la langue française, il y aurait aussi l’inévitable "zob", ou "zeub", "zobi", et Lire la suite
J'ai dû mal ç bien saisir le commentaire de Karl. Lire la suite
Ek viv kon à Sent-lusi!
Lire la suite...et des vidéos de gens ensanglantés, la poitrine défoncée par le volant*, quelques viscères deh Lire la suite