Jik An Bout n°196

Au sommaire :

Éditorial : En Martinique, le pouvoir colonial français viole les droits fondamentaux de la personne humaine

Une belle journée en terre de résistance

Israël-Palestine : crimes de guerre et nettoyage ethnique

La barbarie des impérialistes occidentaux n’a jamais cessé

9 ème Assemblée de l’APC : L’unité de la Caraïbe se construit

Yol-la sé tanou, sé pa ta yo !

Saint-Pierre de la Martinique bientôt jumelée à Pimpol en Bretagne ?

    C'est en tout cas le voeu émis par la municipalité bretonne lors de la récente visite à Pimpol de Christian Rapha, le premier édile de Saint-Pierre, comme on peut le voir dans cet article du quotidien La Presse d'Armor

Tibolonm-lan té lé chapé kò'y an Fwans

   Adan an péyi afritjen, ki nou pé ké nonmen, jandam touvé an tibolonm ki ni apenn 12 lanné anlè tet-li, ki té séré kò'y adan réaktè an avion kon nou pé wè'y adan vidéo-a ki anba artik-tala. 

La dépigmentation volontaire de la peau connaît un essor mondial

La dépigmentation volontaire de la peau, qui consiste à s'éclaircir la peau à travers différentes techniques, plus ou moins néfastes et plus ou moins légales, est un phénomène mondial qui prend de l'ampleur. Décryptage de cette évolution.

Ces Réunionnais indiens que l'on appelle "Zarabes" (1ere Partie)

C'est à partir du milieu du XIXe siècle que des Indiens originaires de l'État du Gujarat, au nord-ouest de l'Inde, sont arrivés à La Réunion. En raison de leur pratique de l'islam, on les appelle les "zarabes". Arrivés soit par l'île Maurice, soit par Madagascar, ils ont longtemps tenu des petits commerces et sont restés à La Réunion malgré les discriminations auxquelles ils étaient confrontés. Pleinement Français depuis la départementalisation de La Réunion en 1946, ils ne revendiquent aucune autre appartenance et sont très fortement attachés à leur île.

LES RÉSEAUX ASOCIAUX, TRIOMPHE DE L'INANITÉ

   Longtemps, imitant Marcel Proust, je me suis levé tôt, tenaillé par cette obsédante question: Qu'y avait-il avant le big bang? Etait-ce le bingo ? Le badaboum ? Le circus?  Le yippee vrooom bong de comètes en gestation ? Y avait-il seulement des comètes? Le guili guili entre poussières d'étoiles existait-il? 

“En Cartagena hay un patrón histórico de segregación social, espacial y de desigualdad” Orlando Deavila Pertuz

Ubicado en las orillas del caño Juan Angola se encuentra San Pedro y Libertad, un asentamiento popular fundado a principios de la década del 50 a solo diez minutos del Centro Histórico de Cartagena.   

KREYOLAD 937 - Lafen simenn mouvmanté

Sanmdi ek dimanch anlo jénes Matinik té ka gadé yenki dan lisid pa koté Voklen. Sé la fok té yé kisiswa ou té érisi kidonk loréa bak oben si ou té échwé. Tout moun té ni an sel mo an bouch-li: BACCHA FESTIVAL.

La chanson inachevée du Baccha Festival

   15.000 personnes, en grande majorité des jeunes, se sont donc pressées au fameux BACCHA FESTIVAL de la Pointe Faula, au Vauclin (Martinique, French West-Indies). Soit 100 fois plus que les militants qui dénoncent la justice coloniale sur le boulevard de La Levée (dit "De Gaulle") chaque fois que ladite justice s'apprête à commettre une...injustice. Une injustice de plus pour dire la franche vérité.

Si ce sont des Israéliens qui le disent...

  A l'heure où en Europe et aux Etats-Unis, le soutien à Israël n'a jamais été aussi fort au point d'en arriver à condamner l'antisionisme mensongèrement assimilé à l'antisémitisme, des voix s'élèvent au coeur même d'Israël, des voix israéliennes qui n'hésitent pas à qualifier le système mis en place dans les "Territoires occupés" de Cisjordanie et Gaza (en réalité des bantoustans) d'Apartheid et de colonisation pure et simple.