Ca ne fait pas partie de nos coutumes kémites ! Enfin, afrodescendantes, si l'on préfère. C'est un truc de Caucasiens. Enfin de leucodermes si l'on préfère.
Mais il y a bien pire que la confiture : mettre le doigt dans la coucoune. Alors là, on atteint le stade suprême de l'aliénation culturelle, sociétale, libidinale, civilisationnelle, bref, le stade ultime de l'assimilation. Nou pa konnet bagay-tala pies toubannman ! comme on dit en égyptien pharaonique. C'est comme ces Kémites qui usent de la drogue du violeur au cours de soirées arrosées, pleines de jeunes filles pas toujours en fleur et de jeunes femmes ayant nombre d'heures de vol au compteur. Nou pa bizwen ba fanm bwè pies kalté dité pou sa dékatjé yo ! tonneraient les descendants insulaires de Toutankhamon.
Doigt dans la coucoune ou drogue du violeur, c'est pas dans nos moeurs ancestrales du tout !
Nous, on fourre le bann-fè direct dans le lambi car depuis les temps maudits de l'esclavage, on n'a jamais eu le temps de courtiser (l'horrible expression caucasienne que voilà !) le deuxième sexe. Mais bon, peut-être qu'à force d'être caucasianisé, l'engin ne durcit plus et on est alors contraint de se servir de l'index ou du majeur. Patat sa !
Comme dirait le demi-frère de Ti-Sonson qui, depuis qu'il a été embauché comme coupeur d'herbe (et seulement d'herbe) au Magic-Vacances Club d'une commune méridionale de l'île aux fleurs et est amené donc à fréquenter journellement des congés payés et autres beaufs de Rueil-Malmaison ou Roubaix :
"Fout fok ou lapia pou ou mété dwet-ou adan bonm konfiti-a ! Ou pa rété bann oben ki sa ?"
Il me semble que l'article parle de ceux qui "PEUVENT PASSER POUR BLANCS" et non de ceux qui, dés Lire la suite
...est-ce que vous parlez de lui-même personnellement, qui l’aurait donc fait sciemment pour sa p Lire la suite
...comme le dit l'article étant donné que l'esclavage des Turcs n'était pas raciste (ils mettaie Lire la suite
Merci pour cet excellent article .Albè ,on demande des réparations aux Turcs quand? Lire la suite
...-et je ne suis pas le seul dans le cas-, ce n’est pas forcément "dans le silence de [mon] espr Lire la suite