Homme discret quoique toujours disert et jovial, Roger Parsemain, né en 1944 dans la commune du François, n'est pas souvent cité dans le panthéon littéraire martiniquais. Pourtant, il fait partie des rares poètes à l'instar d'Henri Corbin et Nicole Cage, à avoir réussi à s'affranchir du baobab césairien, de la grande ombre de l'auteur du Cahier d'un retour au pays natal. Car ne poétise pas après Césaire qui veut !
Hommage a donc été rendu à la Médiathèque du Saint-Esprit à Roger Parsemain sous la houlette de l'association Balisaille et de son "Mai-Poésie" ce 18 mai dans la soirée. Son oeuvre, qui n'est pas seulement poétique (il est également l'auteur de romans et de nouvelles), a été passée en revue par ses amis Georges-Henri Léotin, Nicole Cage, Valérie John, José Alpha... et bien d'autres devant un public conquis.
Voici un aperçu de ses principales publications poétiques :
...d’ailleurs Fanon était lui-même à lui tout seul le début d’un "grand remplacement" des Algérie Lire la suite
Mais, il n'en demeure pas moins que le suprématisme blanc et son appendice sioniste sont les pire Lire la suite
...la couleur de la peau qui détermine si qqn est plus ou moins progressiste: Nasser avait nation Lire la suite
Qui pendant 3 siècles ont déporté nos ancêtres depuis l'Afrique jusqu'aux Amériques où ils ont é Lire la suite
Je pense que les lecteurs habituels de Fondas qui sont des gens avisés, ont parfaitement compris Lire la suite