« Ce groupe est essentiel pour travailler à la solidarité avec le peuple palestinien et promouvoir une paix juste », a salué la députée communiste Elsa Faucillon. Auparavant, la question palestinienne était reléguée à un groupe d’études à vocation internationale (Gevi). « On ne peut pas avancer de façon commune si l’on a une dissymétrie dans notre Assemblée » avec le groupe France Israël, a justifié l’ancien président du Gevi, le député Modem Richard Ramos, partisan de ce changement.
Une évolution à laquelle n’adhère pas Gabriel Attal, qui avait rédigé un courrier à la présidente de l’Assemblée rappelant que la Palestine n’est pas reconnue par la France, et que son Parlement ne s’est « pas réuni pendant onze années ». Il semble moins disert sur le sort des douze députés palestiniens, dont Marwan Barghouti, qui se trouvent dans les geôles israéliennes, une situation unique au monde.
Un groupe d’amitié avec la Palestine créé à l’Assemblée nationale
T'es QUI pour donner des leçons et admonester ceux que tu appelles "les défenseurs martiniquais d Lire la suite
Scandaleux ,certes mais beaucoup moins que le sort actuel des Subsahariens en Tunisie à l’heure o Lire la suite
...enculés ces politiques "de gauche" qui suçaient le Béké Hayot !
Lire la suite...man pa ka sisè pèsonn KRA KRA!!!... "Nuit noire", mwen kèy réponn ou pi ta, OK? Lire la suite
Adjindjin moin ka métté ou adjindjin, bougue ! Foutte ou siceptib, ébé ! Lire la suite