Une culture matérielle a-t-elle été à l’œuvre en Martinique aussi bien au sein des élites sociales que des autres milieux (intermédiaires et populaires) entre 1852 et 1900 ? Nous aurions pu croire que seuls les élites et les milieux intermédiaires avaient porté un intérêt à leurs objets du quotidien ou à ceux usités de manière exceptionnelle.
Les milieux populaires, dès lors qu’ils eurent quelques moyens, possédèrent certains objets matériels nécessaires aussi bien en cuisine qu’au niveau des pièces à vivre des intérieurs ruraux et urbains. Ils recensaient des « petites gens », vivant avec des salaires de misère, à l’image des immigrants indiens et africains, des cultivateurs, des charbonnières des blanchisseuses, des « machanne lapacotte », des domestiques/ménagères ; des gens sans le sou ; mais aussi quelques individus qui allaient réussir à s’élever progressivement dans la société post-esclavagiste. Ce livre aborde l’envers du décor colonial en entrant dans l’intimité des intérieurs urbains et ruraux des élites sociales, des milieux intermédiaires et des milieux populaires.
Je l'ai découverte il y a peu. Lire la suite
Ainsi, ce truc de "migrants" dont les grands médias nous farcissent la tête, serait du pipeau.
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"Pourquoi n'y a-t-il pas de Noirs et d'Arabes en Pologne ?", est-il demandé.
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L'homme est un mammifère et, à ce titre, les groupes qu'il constitue revendiquent un territoire, Lire la suite
Le peuple kanak vit sur sa terre depuis au moins 5.000 ans. Il ne l'a jamais quittée. Lire la suite